l'Association

 

Qui sommes nous ?

L’Association des Femmes d’Amérique Latine (A.F.A.L.), est une association multiculturelle, apolitique et non confessionnelle qui poursuit des objectifs culturels, d’assistance matérielle et sociale et d’accueil. Elle a été fondée à Bruxelles le 18 juin 1996 par un groupe de femmes de différentes nationalités résidant en Belgique. Tous les projets réalisés ont chaque fois été supervisés par un membre d’AFAL.

 

Conseil d’Administration

  • Présidente : Marie-Thérèse de Liedekerke

  • Vice-Présidente : María-Inés Gaviria

  • Secrétaire Générale : Carina van Haute

  • Trésorière : María Leonor Castro

  • Administrateur :

    • Geneviève de Beaufort

    • Simone Cools

 

Au nom de l’espoir

L’Afal (Association des Femmes d’Amérique latine), fondée par un groupe de femmes latino-américaines dont Marie-Thérèse de Liedekerke, s’est donné un objectif, aider les femmes et les enfants d’Amérique latine les plus démunis. En 20 ans, plus de 50 projets ont été soutenus dans 17 pays dont 25 sociaux ,10 autour de la santé et 15 autour de l’éducation.

Lorsqu’elle quitte le Chili à 21 ans en suivant son père Hernán de Cuevas nommé ambassadeur en Belgique, une image marquera pour toujours Marie-Thérèse de Liedekerke, celle de la misère des enfants qui préféraient la rue aux orphelinats. Elle se marie en Belgique, étudie la psychologie enfantine, vit sa vie de femme et de mère jusqu’en 1996 où, ses enfants étant grands, elle se sent prête à se consacrer à sa grande idée : aider les femmes et les enfants de son pays natal, mais pas seulement. Elle pense que la femme peut et doit unir les cultures et les nations et elle élargit l’option à toute l’Amérique latine et crée avec d’autres femmes latino-américaines, l’AFAL, l’Association des femmes d’Amérique latine qui a une vocation culturelle et d’accueil, en Belgique, mais aussi d’assistance matérielle et sociale, en Amérique latine. Depuis, chaque année elle s’intéresse à deux projets qu’elle s’efforce de soutenir.

Des soutiens essentiels et très diversifiés.

A Santiago du Chili, l’Association décide d’aider des enfants qui ont le sida grâce à l’aromathérapie. « Un des plus beaux moments, dit-elle, car  ces enfants qui étaient regardés avec des masques uniquement et n’étaient plus touchés, ont été massés à mains nues et se sont remis à sourire et à rire». En Colombie, elle soutient le travail d’une Belge qui travaille dans une fondation où on apprend le métier de mécanicien aux adolescents ayant subis toute sorte de violence. Le groupe, composé d’une vingtaine de jeunes au départ, en accueille désormais plus de mille. Au Mexique, elle finance un projet de l’archiduchesse d’Autriche qui aidait les mamans enceintes et sans moyen à ne pas passer le sida à leurs bébés. Dans le sud du Chili, à Chillan, c’est une salle pédiatrique pour dix enfants qui a vu le jour. Au Guatemala, au Honduras, au San Salvador et au Nicaragua, elle créé avec Euracen, présidé á l’époque par Monsieur Christian Meeùs, à un programme de distribution de filtres d’eau nécessaires aux familles qui vivent dans des zones caféières. Cette année, c’est le splendide projet des « Docteurs de l’eau » qui a pris corps en finançant un bateau avec médecins, dentistes, infirmières, hygiénistes, enseignants qui s’enfoncent au gré des rios dans les recoins les plus isolés d’Amazonie au Brésil pour apporter leur aide en tant que pélerins des temps modernes. Point clé, ces projets, scrupuleusement suivis, ont été épaulés en faisant confiance à des gens que Marie-Thérèse de Liedekerke connaît personnellement.

Chaque année, fin octobre, un gala permet de réunir une partie des fonds indispensables à la poursuite de ces aides précieuses. « Je dois remercier nos sponsors et tout spécialement la Fondation Futur 21 qui nous font confiance et sont particulièrement fidèles depuis la création de l’Afal ». Alors qu’aujourd’hui, un peu dépassée par l’ampleur de la tâche, elle décide désormais de passer à un projet par an, elle aimerait que plus de femmes d’Amérique latine ait envie d’entrer dans cette grande chaine de la solidarité en n’hésitant pas à la contacter.  Elle affirme que ce « chemin de genérosité et d’humilité peut sauver tant de femmes et d’ enfants, être là avec les autres, parmi les autres.  

Soigner maus aussi apprivoiser en douceur...  personne ne peut rien faire tout seul, mais ensemble on construit une grande œuvre.

— Interview de Marie-Thérèse de Liedekerke dans l’Eventail

 
 

Quels sont nos objectifs ?

 

Culturels

Faire connaître aux européens la vaste et très riche culture de l’Amérique Latine et, d’autre part, permettre aux femmes de ce continent, de mieux connaître la culture européenne et développer ainsi un échange entre l’Europe et l’Amérique latine. Dans ce but, elle organise des conférences, des spectacles et d’autres manifestations (galas, expositions, …) ainsi que des visites de musées et d’autres sites d’intérêt culturel.

ACCUEIL

Réunir les femmes latino-américaines qui, pour des raisons familiales, professionnelles ou d’études, sont amenées à vivre en Belgique et les aider à mieux s’intégrer et connaître les milieux européens.

ASSISTANCE MATERIELLE ET SOCIALE

réaliser des projets de formation, d’éducation et de santé pour des enfants et des femmes défavorisés dans les différents pays d’Amérique latine.